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En employant ces valeurs de <p, j’ai déduit les formules
suivantes; pour l’intensité horizontale de Pitlekaj, je me suis
servi de la valeur 1,32.
Avant le 13 janvier: ^ — 0.0002,23 (ri—ri) ou
dX = 0.0002,94 (ri — n) ;
après le 13 janvier: ^ = 0.0002,77 (ri — ri) ou
dX = 0.0003,65 (ri — ri).
Une lecture croissante de l’échelle correspond à une
augmentation de l’intensité horizontale.
Les observations horaires des variations magnétiques
commencèrent le 27 novembre 1878 à midi, et elles continuèrent
jusqu’au premier avril 1879. Pendant la plus grande partie
des mois d’avril et de mai, on fit une ou deux lectures par
jour. Pendant les mois de novembre et de décembre, les
instruments subirent, d’heure en heure, de très grandes
variations qui ne sont pas faciles à expliquer, mais qui naissaient
peut-être de changements dans la torsion des fils de
suspension. Cependant, les instruments se sont montrés si instables
durant ce temps, que l’on ne peut pas même déduire la
variation diurne pour cette période, et j’ai négligé par cette raison
les observations faites pendant les mois précités. Les
observations d’avril et de mai sont publiées malgré leur petit nombre,
parce qu’elles possèdent une certaine valeur pour les
déterminations absolues.
Les tableaux suivants contiennent donc les variations de
la déclinaison et celles de l’intensité horizontale pour les mois
de janvier—mai 1879 à Pitlekaj, exprimées en divisions
d’échelle dont la valeur est donnée plus haut. Un petit i,
juxtaposé aux lectures, signifie que celles-ci sont interpolées. • Les
nombres entre parenthèse ne sont pas compris dans les
moyennes, pour ne pas nuire à celles-ci par la dyssyniétrie des
observations de la journée. Par suite de l’ajustement des
échelles, j’ai partagé les observations de janvier et celles de
février en deux groupes, et pris des moyennes de chacun à
part, puis j’ai calculé la moyenne des moyennes en question,
en me servant des poids annotés.
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