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de ne point lâcher des discours légers snr la
religion ni trait 1er hurlesqitement cette maliere,
je luy ai fait sentir en svite la honte et la
corn-fusion d^un vice aussi damnabïe et pernicieux
que celuy de se donner au vin, qui abrutit et
ensevelit toutes les bonnes qualités de l’a me et
du corps, -et fait qu’on n’est receu qu’avec
répugnance dans les sociétés, fait d’ailleurs qu’on
devient incapable de secret et d’aucune action-,
je Parois asscs rammené de ce defaut, et
j’au-rois peut-etre triomphé si je Pavois .pu attirer
plus prés des chés moy, et qu’il eut voulu
constamment manger dans ma maison, ou bien qu’il
m’eut voulu svivre dans celles ou je l’ay voulu
mener, mais cela n’a jamais été en mon
pouvoir; il est de plus extrêmement harnieux quand
il a beu et il ne tient pas a luy, qu’il n’ait des
affaires du dernier sérieux ainsi qu’il luy est
arrivé ou pensé arriver avec le feu Werwing,
Groubbe et autres, les quels le connoissant
sujet a cette foiblesse, et se souvenant-de ce qu’ils
ont deu a V. E. n’ôrit songé qu’a le ramener
par la voye de la douceur, un autre mal quanti
il s’est donné a la débauché, est celuy de ne
point finir,’et qu’il termine la scene par toiît
Ce qu’il peut trouver de plus vif et violent en
liqueurs, ce qui certainement ne peut manquer
de prendre sur sa stfnté et meme sur sa yie.
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