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Les gîtes aurifères de la France.
L. Simonin, Fauteur de La Richesse
Minérale de la France (Paris, 1865), nous raconte que
For était abondant dans la vieille Gaule, fourni par
le lavage des alluvions du Rhin, du Rhône et de
quelques ruisseaux échappés des Cévennes ou des
Pyrénées. »Tous les historiens de Fantiquité,
César, Strabon, Pline, Diodore de Sicile, ont parlé de
ces exploitations.»
En 1700, la Monnaie de Toulouse recevait
encore 50 kilogrammes d’or des orpailleurs du Gard
et de FAriège.
L’auteur (Simonin) rencontra, en 1864, dans le
Gard, les deux derniers représentants »peut-être de
cette industrie expirante». Toutefois, M. Obalski, de
la revue La Science Française, m’a assuré que
les orpailleurs des Cévennes existent encore et que
de nos jours on a vu surgir une société anonyme
pour l’exploitation à la machine, mais sans réussite.
»Le spectacle de la Nature» datant de XVIIIe
siècle, nous renseigne sur des mines aurifères. »On
en a trouvé de très belles veines à Bouconville, en
Picardie, et à Rumigny, en Champagne; d’autres en
Dauphiné et ailleurs. Il est vrai que la petite
quantité d’or pur qu’ont produit les premiers essais, a
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