Full resolution (JPEG) - On this page / på denna sida - Suède - 1. Enseignement primaire - V. Organisation de l'enseignement. — Méthodes
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Je n’ai pas besoin de dire que l’on a recours dans
les écoles à tous les moyens connus pour faciliter
l’étude et la rendre attrayante.
L’enseignement de la lecture, de l’écriture, du
calcul se fait à l’aide des meilleures méthodes. La
Suède, comme l’Allemagne, a organisé, d’après
Frœbel, pour les jeunes élèves, ces jardins
d’enfants, ces Kindergärten, ainsi que ces leçons de
choses que l’on commence à introduire dans nos écoles
françaises. Les instituteurs ne se contentent pas
d’accoutumer les enfants à ces petits travaux, à
ces exercices ingénieux, pour lesquels se manifeste
de bonne heure chez ceux-ci une rare habileté.
Ce n’est là que la partie matérielle de la méthode
Frœbel, qui a pour but de développer chez les
enfants les facultés intellectuelles, l’attention,
l’esprit d’observation, le raisonnement, et qui
surtout s’occupe de leur éducation morale. Il en est de
même de ces leçons de choses, de cet enseignement
par l’aspect, que je suis heureux d’avoir été un des
premiers à faire connaître à la France[1]. En
réunissant, autant que possible, dans les écoles, non des
tableaux ou des images, mais des objets réels
empruntés aux trois règnes de la nature et aux produits
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