- Project Runeberg -  Mindeskrift i anledning af hundredaaret for Japetus Steenstrups fødsel / XXIV. Observations sur la Valeur Systématique de l'Ovule /
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(1914) Author: Hector Jungersen, Eugen Warming
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tant typum. Sunt nempe in Araliaceis et Umbelliferis . . . epitropæ, in Cornaceis vero
(observavi gemmulas Corni, Benthamiæ, Corokiæ et his proximæ Aucubæ) ut in Capri-
foliaceis et Viburneis apotropæ. Mihi itaque Araliaceæ et Gornaceæ in diversis seriebus
analogæ et sibi invicem respondentes, nec vero affines videntur«. (Cf. tab. XXII, fig. 13).
J ’estime qu’AoARDH a raison. Dans toutes ces families les ovules sont monochlamydés
leptosporangiates, mais les Cornaceæ différent sur tant de points des deux autres families
que, si I’on y ajoute la position de l’ovule, on doit penser que la separation signalée est
fondée. Mais au reste la famille des Cornaceæ ne parait pas encore parfaitement natu-
relle quant a son contenu: c’est ce qui a été déjå dit par exemple par Eichler (1878, p. 416)
et par Harms (1897, p. 254). Wangerin (1906) en a séparé les genres Garrya, Alangiam,
Nyssa et Davidia. Je ne connais pas suffisamment tous les genres qu’on a rassemblés dans
la famille des Gornaceæ; mais je considére en tout cas que la solution la plus juste serait

Fig. 18. Cornus mas. A, coupe verticale å travers un ovaire jeune; n, nectaire. B, coupe analogue
å travers un ovaire plus ågé. L’ovule est tourné de telle sorte que le raphé se trouve en arriére de lui.
C, coupe verticale å travers l’ovaire d’une fleur épanouie; t, tissu cellulaire conducteur qui est repro-
duit å une échelle plus grande å la fig. D; l’ovule est pieuro trope. E, coupe longitudinale d’un ovaire,
montrant les deux ovules pleurotropes; on voit une coupe transversale (de biais) de leurs sacs em-
bryonnaires; t, tissu cellulaire conducteur. F, sac embryonnaire avec épithélium de l’ovule de la
fig. C; h, hypoblaste. G, H, coupe transversale d’un ovule, å des hauteurs différentes; en H on voit
le sac embryonnaire; la coupe G est pratiquée au-dessus de ce sac. Ces coupes montrent que les cel-
lules de l’épithélium se joignent aux series de cellules situées au dehors, provenante de ce que des
divisions de cellules ont été pratiquées dans le sens tangentiel.

de les grouper en deux families (ou peut-étre davantage) d’aprés la position de l’ovule,
de sorte que les genres å ovule épitrope (d’aprés Harms et Baillon: Garrya, Davidia,
Mastixia, Curtisia) soient placés dans une famille å part, et que les genres å ovule apo-
tr op e {Aucuba, Benthamia, Cornus, Corokia, Griselinia, Helwingia, Kaliphora, Melanophylla,
Torricellia) soient compris dans la famille des Cornaceæ, dont les ovules sont par conséquent
pendants, apotropes et monochlamydés-leptosporangiates (Wangerin 1910). Du reste,
comme le remarque aussi M. Harms, il est souvent tres difficile de decider avec certitude si
l’ovule d’un ovaire uniloculaire est apotrope ou épitrope. C’est pourquoi les données de cette

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