- Project Runeberg -  Mindeskrift i anledning af hundredaaret for Japetus Steenstrups fødsel / XXIV. Observations sur la Valeur Systématique de l'Ovule /
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(1914) Author: Hector Jungersen, Eugen Warming
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Gelles-ci sont disposées en cymes au nombre de trois, ont des bractéoles et sont soutenues
par des bractées (fig. 20^, B). Nos figures montrent un ovule pendant typiquement
monochlamydé leptosporangiate (Fig. 20 G), avec le micropyle tourné en haut, tout å
fait concordant avec celui du genre Cornus. Il me parait que M. Baillon doit avoir
raison en disant que l’ovule est épitrope. Il faut noter cependant que j’ai constaté une
fois que, des deux fleurs latérales d’une cyme, l’une avait son ovule pendant sur la paroi
antérieure et Fautre sur la paroi postérieure. La chose doit peut-étre s’interpréter en
ce sens qu’il existe deux carpelles qui tous deux peuvent porter un ovule; et ce fait con-
corde bien avec les indications de Baillon et de Harms, d’aprés lesquels il peut y avoir
parfois deux ovules dans un seul ovaire.

Fig. 20. Nyssa aquatica. A, une inflorescence; au-dessous, des fleurs, les bractées et les bractéoles
velues; p, pétales. B, coupe longitudinale d’une inflorescence, montrant la position des ovules. C,
un ovule représenté transparent, de fagon å montrer la ramiflcation des faisceaux vasciilaires. Le sac
embryonnaire et le micropyle s’apergoivent å l’intérieur. D, nucelle jeune. E, coupe longitudinale
d’une fleur. F, tissu cellulaire conducteur dans le style. G, un ovule; en haut, en face du micropyle,
on voit le tissu cellulaire conducteur.

D’aprés ce qui a été dit, Nyssa me parait étre séparée avec raison des Cornaceæ,
et M. Baillon a peut-åtre vu juste en la considérant comme apparentée aux Combreta-
ceæ. Le faisceau vasculaire du raphé peut se trouver ramifié (fig. C). Les tissus cellu-
laires conducteurs peuvent se suivre vers le bas jusqu’au micropyle (fig. E, F et G).

J’en viens maintenant å VHippuris vulgaris. Sa situation systématique n’est
pas claire. On la place en general, avec Gunnera, dans le voisinage des Halorrhagida-
ceæ: quelques-uns les rangent toutes deux dans cette famille, et d’autres les considérent
comme des types de families distinctes, mais les piacent en tout cas dans l’ordre des
Myrtales. La plupart des botanistes recents qui se sont occupés de l’Hippuris le
séparent de la famille des Halorrhagidaceæ, mais ne se prononcent pas avec certitude
sur la place exacte qu’il faut lui attribuer (Schindler 1905, p. 15; Juel 1911, p. 24),
On lui a également donné comme voisin le genre Callitriche.

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