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Mindeskrift for J. Steenstrup. XXIX.
inférieure du spermoviducte et, en particulier la majeure partie de l’oviducte libre,
prennent part à cette formation. Le canal séreux chez l’ovovivipare Cl. biplicata n’est pas
aussi développé, il n’a certainement pas autant de plis, que chez l’ovipare Cl. plicata.
Chez Balea perversa il est faiblement développé, et il en est de même du pli qui sépare
les deux canaux. Lorsqu’on ouvre l’oviducte libre il semble, à première vue, ne posséder
qu’une seule chambre; le canal séreux et la cloison ne sont indiqués que par une étroite
bande blanche longeant l’un des côtés du sac embryonnaire. Fig. 9 et 10 montrent les
relations proportionnelles entre les deux sections de l’oviducte libre. Si l’on veut employer
le nom «utérus», il ne doit être
employé que pour désigner la section
muqueuse du conduit génital femelle.
Le vagin. Par ce nom on désigne
généralement la partie du conduit
génital femelle qui est située entre
le cloaque génital et l’embouchure
de la poche copulatrice. Tandis que
l’oviducte libre chez quelques espèces
se continue d’une manière assez
uniforme dans le vagin, chez d’autres il en
est nettement séparé, ce qui est dû à
la dilatation fréquente du vagin, surtout
dans sa partie supérieure, et dans ce cas
la partie inférieure de l’oviducte libre
est étroite, tandis que le col de la
poche copulatrice est assez large, cette
dernière a donc l’air de former la
continuation du vagin dont l’oviducte
serait une ramification (voir la fig. 23).
Ceci se voit aussi très nettement sur
les coupes. Quant à la structure
histo-logique elle a été examinée chez Cl.
ventricosa et chez Cl. laminata. L’épithélium se compose de cellules cylindriques ayant une
cuticule bien prononcée ; ces cellules, contrairement à celles de l’oviducte libre, ne sont
pas ciliées. A l’extérieur de l’épithélium se trouve une épaisse tunique musculaire où
les filaments sont annulaires mais on y voit également des éléments radiés et
longitudinaux. Le vagin et le cloaque génital se caractérisent par de grandes et nombreuses
glandes muqueuses. Quelques-unes de celles-ci atteignent chez Cl. ventricosa la partie
inférieure de l’oviducte libre, où elles se placent individuellement entre les cellules
Fig. 9.
Fig. 10.
Fig. 9. Coupe transversale de l’oviducte libre chez
Balea perversa; un des côtés seulement de la
préparation est figuré, X 120. — Fig. 10. Çoupe
transversale de la partie supérieure de l’oviducte libre à
l’entrée du canal déférent, X 120. — bc poche
copulatrice, es canal séminal, di diverticule, en
enveloppe entourant l’embryon, la lamelle qui sépare les
deux canaux de l’oviducte libre, mu canal muqueux,
se canal séreux, vd canal déférent.
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