- Project Runeberg -  Svensk botanisk tidskrift / Band 14. 1920 /
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linéairement sur l’axe des abscisses de la courbe de fréquence des
stations, le nombre d’espéces correspondant est sensiblement le méme,
n’importe oü je prenne cet échantillon, et que les écarts soient acci-
dentels, non pas systématiques.

Une telle variation, comment affectera-t-elle nos courbes? Il y aura
en vérité dans une étroite classe de fréquence tantót plus, tantót
moins d’espéces que le nombre calculé. Mais comme la variation
n’a rien de systématique, les écarts positifs et négatifs doivent se
neutraliser, si les nombres de stations et d’espéces ne sont pas trés
petits et si nous ne calculons pas avec des classes de fréquences
trop étroites. Nous en avons employé cinq au plus. Nous osons
prétendre que nos calculs sont applicables comme une bonne ap-
proximation aussi aux conditions qui correspondent au cas 2.

Cas 3 (A et B). Une supposition semblable à celle de RAUNKLER,
que nous avons citée au début, correspondrait à notre cas 3. Les
facteurs prédominants d’un territoire, ce sont dans notre langage
les combinaisons les plus fréquentes. Or, si plus (ou moins) d’es-
peces sont adaptées à chaque station vers le sommet que vers les
-ailes de la courbe de fréquence des stations, cela serait une variation
systématique. Quelle forme une telle supposition donnerait-elle à
nos courbes?

Supposons p. ex. que le nombre d’especes adaptées à chaque
stalion dans la einquieme classe de fréquence soit plus grand que
dans les autres classes. D’aprés la supposition A, chacune de ces
especes aura la fréquence élevée des stations correspondantes, mais
leur nombre est plus grand qu’avec une répartition uniforme. Dans
nos courbes cela s’exprimerait par un haussement du second som-
met. D’aprós la supposition B, n espéces auraient à partager les
fréquences des stations correspondantes. Aucune d’elles n’obtiendrait
donc les taux de fréquence de leurs stations. Cela veut dire, qu’un
nombre d’entre elles n’obtiendront pas de fréquence suffisamment
élevée pour étre rangées dans la classe 5. Je n’ai pas eu la patience
d’aller plus au fond de cette éventualité, mais il me semble que le
résultat sera un abaissement du second sommet de notre courbe et
une augmentalion dans les classes intermédiaires. En ce cas on
pourrait peutétre trouver des conditions moyennes entire les cas ex-
trémes A et B, ot: les courbes seraient exactement analogues aux
courbes calculées.

On pourrait discuter s’il est permis de remplacer la variation
continue par une variation à degrés égaux, comme nous l’avons fait

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