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probable d’especes sur ce terrain nous prenons le nombre d’especes
sur lensemble des 100 échantillons, calculé d’apres la répartition
la plus probable. (Nous commettons par là une faute; voir ci-haut
sous 2) Ces chiffres se trouvent déjà dans les colonnes 5 et 6 du
tableau V. Comme mesures correspondantes de surface nous pouvons
prendre directement les chiffres de la colonne 3 ou 4, parceque des
chiffres relatifs nous suffisent. La courbe dressée d’apres ces don-
nées est représentée par la fig. 2. Pour pouvoir faire une comparaison,
jai marqué dans la figure quelques données empiriques de PALMGREN,
extraites de son tableau II, p. 501 (territoire Lemland, le seul oti se
trouvent toutes les grandeurs d’iles I—IV, grandeurs relatives d’apres
les indications de PALMGREN p. 497; deux iles dont la grandeur ne
ressort pas avec netteté des indications ont été supprimées).
r/oo
^ ees especes
surfaces e
Fig. 2. Rapport entre surface et nombre d’especes, O = valeurs calculées,
@ = données empiriques de PALMGREN,
Des courbes pareilles pourraient aussi étre extraites des tableaux
III et IV. Elles auraient la méme allure.
J’attends avec grand intérét les recherches plus étendues que
PALMGREN promet dans son mémoire cité, ou bien chaque autre
recherche fournissant un plus riche matériel, qu’on pourrait com-
parer à la courbe calculée. D’ailleurs c’est assez clair que la courbe
réelle présentera en grands traits la méme forme que la courbe
calculée. Un terrain d’une étendue 0 renferme forcément 0 %
d’espéces. Plus sa grandeur augmente, plus il peut en renfermer.
Mais si l’on est une fois arrivé à de si grands terrains qu’ils ren-
ferment vers 100 % des espéces, la variation est à peu prés épuisée
et puis la courbe doit asymptotiquement se rapprocher de la valeur
100 %. C’est la méme chose, il me semble, qui est exprimé d’une
autre facon chez ARRHENIUS (1918).
Svensk Botanisk Tidskrift 1920. 9
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