Full resolution (TIFF) - On this page / på denna sida - XI. F. M. Franzéns poem till Alexander I - XII. Konsistorii och presterskapets hyllningsadress (1816?)
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Vainqveur! — Mais ce n’est plus à ce nom redoutable,
Qve pense le vaincu, comblé de tes bienfaits.
Donnant au lieu de prendre, o Guerrier charitable,
Tu repands de ton char les fruits d’or de la paix.
Et la divine Paix! — O! deja de la nue,
Je la vois, qvi descend sur l’ami des humains:
Et le peuple, enchanté de la celeste vue,
Se prosterne, attendant tes ordres souverains!
N’acceptant qve son coeur, tu te plais à lui rendre,
Genereux conqverant, ses loix, sa liberté:
Et comme sous GUSTAVE, il veut sous ALEXANDRE
Meriter son bonheur par sa fidélité.
XII. Konsistorii och presterskapets
hyllningsadress (1816?)[1].
Sire.
Ayant rétabli la paix dans l’Europe et reglé le bonheur
des Empires, Votre Majesté Impériale a daigné jetter
Son Auguste regard même sur ce coin de la terre, ou habite
un peuple heureux, dont le coeur, malgré les frimats du climat,
a conservé assez de chaleur pour sentir les bienfaits de Son
grand Souverain, et pour y répondre par la soumission et la
vénération la plus profonde. Votre Majesté Impériale, voulant
bien donner à ce peuple encore une preuve solennelle de Sa
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